La célèbre romancière belge, originaire du Kasai, est de retour sur Audible avec « Japon, Les fleurs d’un monde flottant. »
L’amour entre Amélie Nothomb et le Pays du Soleil Levant ne date pas d’hier. Elle l’a dit elle-même le 5 avril dernier au Musée Guimet de Paris, lors de la présentation de : « Japon, Les fleurs d’un monde flottant » : « Jusqu’au début de l’âge adulte, je me considérais japonaise. »
L’écoute des odeurs et l’art du vide
La mythologie personnelle d’Amélie Nothomb est représentée par le Japon. Le bouddhisme, le shintoïsme, sa sublimation pour les ténèbres, l’art du vide… Différentes particularités venues de l’île nippone sont retransmises dans les dix podcasts disponibles sur la plateforme de livre audio. En 2020, elle y avait déjà dévoilé une première série de podcast intitulée : « La Divine Comédie D’Amélie Nothomb. »
À travers les bruits, couleurs et parfums, Amélie Nothomb, en collaboration avec Laureline Amanieux, nous emmène à découvrir une véritable sono-thérapie : « Dans la beauté japonaise, tout est voix, tout est son. »
Plus généralement, « Japon, Les fleurs d’un monde flottant » est une expérience de l’écoute, parfois assimilable à des séances de sophrologies, tant l’atmosphère proposée nous pousse à fermer les yeux, inspirer et expirer.
Dans ce programme enregistré en audio 3D, Amélie Nothomb est accompagnée par des artistes et experts initiés au « Nô », un style traditionnel de théâtre classique alliant poésie, danse et musique.
Malgré le fait qu’elle se considère comme « une japonaise ratée », idée tristement synthétisée par son best-seller « Stupeur et Tremblement », Amélie Nothomb a toujours porté le Pays du Soleil Levant dans son cœur.
À l’occasion de cette conférence au Musée Guimet, Japan Magazine a eu le privilège de s’entretenir avec Amélie Nothomb pour revenir sur son lien avec le Japon… Et plus encore !
Interview complète à retrouver dans notre numéro de cet été !
Arnaud Dal-Mas